2 œuvres
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Pour aller sur son chantier...
Panazô
1987Pour aller sur son chantier dans les bois de Lespinasse, propriété de M. de Labourandie, il y a trois bons kilomètres. Piarou monte la côte à la…
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Est-ce que tu as entendu parler du parachutage...
Panazô
1987Est-ce que tu as entendu parler du parachutage au début de la semaine sur la lande de Bramevache ? – Non... Non, non, Françoise, non... – Nous, on…
L’œuvre et le territoire
Avec L’Argent du ciel, Panazô, enraciné dans le terroir, nous entraîne dans son village limousin à l’heure allemande.
Nous sommes à Lestrugeas en novembre 1943. La vie se noue, se dénoue au rythme du marché noir, des réquisitions, des dénonciations et des règlements de comptes. Pourtant la Résistance s’organise et l’on part, selon, pour le S.T.O ou pour le maquis...
Le soir, l’accordéon mène la valse des bals clandestins et le grenier des granges limousines protège les amours coupables. Tout cela, sous le regard sombre et désabusé de Jean-Pierre Madrange, le feuillardier. Solitaire, avec son chat pour unique compagnon, celui que l’on appelle « Piarou l’éborgné » est pourtant le seul, à Lestrugeas, à savoir où est passé... l’argent du ciel !
(Lucien Souny)